Friday, March 27, 2009

Les larmes de Tsiana

Orpheline de mère dès l'âge de quatre ans, maltraitée et transformée en esclave par sa belle-mère, c'est à neuf ans que Tsiana découvre tout sur sa mère. Elle doit sa libération de cet univers carcéral à un général de police, alors neveu de son père qui viendra, tel un messie, donner une nouvelle destinée à sa vie. Mais dans cette nouvelle famille où luxe rime avec abondance, Tsiana fera une scolarité brillante avant de regagner la rue, battue et violée par son tuteur.

" Voilà que tout à coup, tu m'as égarée en plein chemin. Tu m'as plaquée devant une réalité que je ne pouvais jamais imaginer de toi. Tu es passé d'un père adorable en un sadique impitoyable et insatiable. Comme une vulgaire prostituée capturée au petit matin par un groupe de bandits assoiffés de sexe, tu as contribué à lessiver de ma mémoire tous les bons souvenirs qui s'y étaient fièrement gravés en si peu de temps. Il ne me reste plus que cette image sombre et traumatisante d'un père changeant, inhumain et dangereux."

4 comments:

jean manola said...

Depuis que j'ai achetée ce roman,je suis toujours tentée de vouloir le relire car l'histoire de TSIANA,est une réalité veccue dans notre société. Au cours de mes lectures je n'avais que mes larmes qui ruisselaient sur mon visage.Ce que j'ai decouverts ne ma pas laissés insoucieuse. j'ai été très moralement abattue de croire et lire cette vie tragédique que TSIANA à veccue. J'ai aussi compris que la vie est faite des prix à payer,même lorsque nous sommes innossant. TSIANA m'avait redonnée le sourrir lorsque qu'elle prise la decission de s'enfouir du domicile de son oncle.Moi, je pense que même l'auteur, lorsqu'il avait innitié l'idée d'ecrire ce roman il était aussi triste et devait avoir des larmes dans ces moments douloureux du roman. Q'il continu de nous faire lire ce genre d'histoire car elle sont rare.
Source: Guimy Urula

jean manola said...

j'ai été frapée a la fin de la lecture de votre ouvrage .bravo camarade d'avoir aussi bien devoiler les maux qui minnent notre societé . je suis tres fiers de par votre oeuvre d'appartenir au beau pays le gabon vous me prouver mr nzamba que le gabon n'est pas en reste. du courage et encore bonne continuité. sandra qui depuis le gabon vous soutiens les yeux fermees
Bivigou Marta

jean manola said...

bonjour moi c'est irène..ma premiere impression sur ce livre a été "mon dieu que c'est triste" mais evidemment je n'ai plus à m'en etonner vu que je suis africaine et ce snt des realités de chez nous malheureusement...bravo à mr sylvain nzamba...parcontre la fin ne m'arrange pas du tout car à mon avis il y'a tjrs de l'espoir elle aurait pu continuer au moins à vivre pour "maman simone" j'ai bcp apprécié tout de meme j'etais captivée par ce roman lisez le!!
Akoure Irene

yanmaneee said...

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